Traversons le vieux Vernier puis, à l’extrémité du village, prenons sur notre gauche la route du Canada.
Quel drôle de nom me direz-vous. En fait, pas si étrange que cela, A l’origine, il y avait de nombreux peupliers du Canada qui tout heureux de retrouver le terrain humide et frais de leur pays d’origine, s’acclimatèrent très facilement à cet endroit.
Une fois parvenu au bord du Rhône, prenons la passerelle et suivons le sentier qui longe ce fleuve, notre joyau.
Nous voici prêts pour une balade en dehors du temps, face à la nature, face à nous-mêmes.
Apprécions ce moment privilégié. Nous voilà envahis par la majesté du fleuve, ses reflets et le son de l’eau qui s’écoule, tout autant que dépouillés face à la réalité du moment, à l’ambiance de la forêt, sa fraîcheur et l’éclat de ses arbres.
Le Rhône, ce cadeau de la nature, nous permet de vivre le moment présent, ici et maintenant.
Vernier en a hérité et se doit de le choyer.
Elle n’y a pas manqué en acquérant les chemins le bordant, en les entretenant et en renaturant ses berges comme les nants qui l’alimentent.
Le PDC est très fier d’en avoir été tant l’initiateur qu’un acteur énergique qui a permis aux instances cantonales et communales de s’accorder.
La renaturation du Nant de la Noire et les aménagements du secteur «Au Moulin» au fil du Rhône, pour ne citer qu’eux, sont des richesses à la disposition de nos habitants et nous nous en félicitons.